Politique
Contentieux électoral au Niger : Mahamane Ousmane prend acte du verdict de la Cour de justice de la CEDEAO
Le 31 mai dernier, la Cour de justice de la CEDEAO a rendu son verdict sur le dossier du contentieux électoral qui oppose le candidat aux élections présidentielles de 2020- 2021 Mahamane Ousmane à l’État du Niger. Presque une semaine après l’annonce de ce jugement, le désormais ex challenger du Président de la République Mohamed Bazoum a pris son mal en patience en admettant le résultat de ce délibéré. Ainsi, dans un message qu’il a livré ce jeudi 9 juin 2022, Mahamane Ousmane a remercié ses soutiens et aussi revenu largement sur les motivations qui ont conduit ce recours à la cour de justice de la CEDEAO. Lisez l’intégralité de son message.

Nigériennes, Nigériens
Mes cher(e)s compatriotes
Vous êtes nombreux à avoir voté selon votre conscience et en toute connaissance de cause, lors du 2e tour des élections présidentielles du 21 février 2021. La vérité issue des urnes, montre, au vu des résultats dont nous disposons, et selon mon intime conviction, que la majorité d’entre vous a voté pour moi. C’est à ces nombreuses concitoyennes et ces nombreux concitoyens qui ont été sensibles à ma vision entreprenante que je songe en ces instants.
Ce résultat, je le dois en grande partie en réalité à leurs efforts constants, fécondés par la large Coalition qui m’a accompagné. Qu’il me soit permis de saisir cette occasion solennelle, pour les féliciter à nouveau, il s’agit de :
▪ la Coalition pour une Alternance Politique 20-21 (CAP 20-21) ;
▪ l’Alliance des Candidats pour le Changement (ACC) ;
▪ le Front Républicain pour le Changement (FRC) ;
▪ et les Indépendant et Alliés.
Je réitère ici tous mes vifs remerciements et ma gratitude infinie aux Leaders de notre Coalition, dont la collaboration des uns et des autres, venus d’horizons variés, a produit des idées originales et qui constituent, j’en suis sûr, une base solide de l’édification d’une Nation de justice et de paix, unie et solidaire, laborieuse et prospère.
Également, je remercie chaleureusement les militantes et militants des partis politiques et des organisations de la société civile et autres leaders d’opinion ainsi que leurs militantes et militants, qui m’ont soutenu dans cet exercice de recherche d’un renouveau démocratique et républicain pour notre pays.
A ces bénévoles qui ont donné sans compter leur énergie, leurs ressources et leur temps pour faire triompher notre vision, nos idées, et notre programme, j’adresse ici ma reconnaissance éternelle.
Mes cher(e)s compatriotes,
Comme vous le savez, le délibéré tant attendu du contentieux électoral qui m’oppose à l’Etat du Niger a été rendu à Abuja par la Cour de Justice de la Cedeao le 31 mai 2022, au cours d’une audience diffusée par visio-conférence. Ayant épuisé les voies de recours judiciaires, je prends acte de ce délibéré en attendant de recevoir l’arrêt de la Cour.
J’ai une pensée particulière, à l’endroit de tous ces nombreux Leaders des partis politiques, Leaders des organisations de la société civile et d’autres citoyens parmi lesquels des Leaders d’opinion, injustement gardés en prison, dont son Excellence Hama Amadou, l’Autorité Morale du MODEN/FA/LUMANA-AFRICA et le Général à la retraite, Moumouni Boureima, entre autres. Certains, pour avoir simplement exprimé leurs opinions pendant la campagne électorale et des centaines d’autres, pour avoir exigé le respect des résultats issus des urnes.
Dans un Etat de droit, sous le sceau de ce délibéré rendu par la Cour de Justice de la CEDEAO relativement au droit à la liberté d’expression, leur détention est tout simplement illégale ; et j’exige par conséquent, la libération immédiate et sans condition de tous ces prisonniers politiques et d’opinion.
Ce verdict renforce mes convictions. Cette réaction peut sembler paradoxale mais il convient de mettre en perspective les évènements.
En effet, malgré l’incompréhension de certains de mes amis et les aprioris de certains citoyens ; les uns par ignorance, les autres par défaitisme ou par fatalisme ; c’est en toute responsabilité et en toute connaissance de cause, que j’ai choisi d’exercer un recours judiciaire avec l’espoir légitime de faire reconnaitre notre victoire afin de mettre en œuvre notre programme politique.
Je vous en donne en quelques points, les principales motivations et les résultats recherchés. Relativement aux objectifs et résultats visés, ils sont évidents.
En effet, quand on va à une compétition c’est pour gagner :
1. faire rétablir la vérité des résultats issus des urnes par l’annulation des tous les chiffres indument proclamés suite à des violations des dispositions légales en vigueur, tant sur le plan national qu’international ;
2. faire reconnaitre notre victoire obtenue par les urnes ;
3. mettre en œuvre le programme que nous avons soumis au peuple et pour lequel nous avons sollicité son suffrage ;
Relativement aux contextes et aux motivations, retenons que :
4. les élections ont été organisées dans un contexte particulier, en violation des dispositions, non seulement du Traité Révisé de la CEDEAO et du Protocole sur la Démocratie et la Bonne Gouvernance, mais aussi en violation de certaines dispositions de nos textes législatifs et règlementaires nationaux ;
5. le refus délibéré de l’Etat du Niger, en violation des textes de la CEDEAO, de créer et mettre en place le cadre, les moyens et les structures chargées de régler certaines questions relatives aux élections avant la tenue de ces dernières pour qu’elles puissent se dérouler de manière apaisée ;
6. le CNDP, cadre du dialogue politique, facteur d’apaisement, réclamé vainement par l’Opposition politique à plusieurs reprises, a été bloqué à dessein ;
7. la CENI est en réalité perçue par les compétiteurs que nous sommes, comme non indépendante. A ce sujet, l’exemple du cas de Maradi est suffisamment illustratif. En effet, malgré les irrégularités sur les faux bulletins, que la CENI, elle-même, a relevées, et rendues publiques, à travers la presse, aucune recherche, encore moins une identification ou une sanction n’a été envisagée pour retrouver les auteurs et complices de cette fraude électorale, leur accordant ainsi une totale impunité ;
8. la Cour Constitutionnelle, juge électoral, a fait l’objet d’un contentieux dans sa composition lors de son renouvellement. Ce contentieux a fait l’objet d’un arrêt rendu par le Conseil d’Etat. Cet arrêt n’a pas été régulièrement exécuté jusqu’aux élections ;
9. les braquages avec des armes à feu contre les délégués de l’opposition quasiment tenus à l’écart de manière insidieuse ; les violences et intimidations des délégués, documentées et régulièrement soumises aux autorités compétentes sans qu’aucune suite ne soit donnée ;
10. les fraudes massives ont été organisées, nous les avons relevées, documentées par des huissiers de justice assermentés et versées dans le dossier à l’occasion de ces recours judiciaires ;
11. la situation grave du Niger, onze (11) années consécutivement classé dernier pays de la planète en termes d’Indice de Développement Humain (IDH), constaté par les institutions internationales compétentes, mais aussi constatée et vécue dans leur chair et dans leur âme, par les citoyens nigériens ;
12. la précarité de la vie quotidienne, caractérisée par la famine, le chômage, l’absence d’éducation, de soins de santé primaire, résultats d’une gouvernance calamiteuse, produisant et exportant des mendiants dans tous les pays voisins et même au-delà ;
13. l’insécurité, qui s’aggrave de plus en plus, touchant la totalité des huit (8) régions du pays, dont cinq (5) gravement affectées et trois (3) placées durablement sous état d’urgence ; avec des cortèges de personnes déplacées de leurs villages, des morts, tant dans les rangs des civils que des éléments de nos Forces de Défense et de Sécurité, et cela jusqu’à ce jour.
Mesdames et Messieurs, mes cher(e)s compatriotes
Dans un tel contexte, où l’Etat semble totalement absent, tous les ingrédients sont réunis pour assister à une véritable implosion. Il y a donc lieu de faire le choix qui privilégie la préservation de l’essentiel, c’est le choix de la paix, de la raison, de la légitimité républicaine, de la démocratie et de l’Etat de droit.
Relativement aux objectifs visés, rappelons que :
1. les voies de recours internes étant épuisées à partir de la Cour Constitutionnelle, il y a lieu d’envisager les autres possibilités qui sont à notre portée face aux irrégularités manifestes constatées et aux multiples risques que le pays encourt ;
2. la Cour de Justice de la CEDEAO est bien compétente pour examiner les cas de manquements des États membres à leurs obligations en vertu du droit communautaire ;
3. la Cour est également compétente pour connaître des cas de violation des droits de l’Homme dans tout Etat membre, en particulier à l’occasion des élections.
Nous avions donc choisi cette voie de droit, en toute responsabilité, de manière à préserver notre pays des conséquences très fâcheuses, généralement constatées dans de nombreux pays aux situations comparables. Nous avons estimé qu’un pays comme le nôtre, très fragile, tant du point de vue de sa position géopolitique et géostratégique, que de sa situation intérieure, ne doit pas être exposé à des situations de violences encore plus difficilement gérables.
Jamais je ne privilégierai la force sur le droit. La démocratie se fonde aussi sur le respect des lois et règlements qui régissent l’Etat de droit. La Cour de Justice de la CEDEAO a rendu son verdict et en tant que démocrates, nous avons pris acte, même si ce verdict a laissé en l’état le contentieux électoral, la Cour s’étant déclarée incompétente sur plusieurs points de notre recours. La Cour s’est prononcée, mais pas le Tribunal du Peuple nigérien, souverain, encore moins le Tribunal de l’histoire.
Plus que jamais, la refondation de la gouvernance démocratique de nos institutions nationales et sous-régionales s’impose, notamment celles visant à renforcer leur indépendance, leur intégrité, et élargir leur champ de compétence afin de les adapter aux exigences des temps présents et à venir, ainsi éviter des crises dont notre espace communautaire n’a plus besoin, face aux multiples défis qui assaillent nos populations. Ce sera en partie notre lutte, en plus de celle pour un Niger de paix, de justice, uni et solidaire, laborieux et prospère.
Vive la démocratie !
Vive la République !
Dieu bénisse le Niger et son peuple !
Je vous remercie
Politique
Tribune: Séparation CEDEAO-AES : Entre divergences politiques et enjeux de reconnaissance

Les récents événements politiques de l’espace ouest africain enregistrent le 29 janvier 2025 comme la date où la séparation entre l’organisation régionale ouest-africaine et les pays de l’Alliance des États du Sahel (Mali, Burkina Faso et Niger) était devenue une évidence. Le vin est donc tiré.

Déjà la veille, c’était des manifestations dans plusieurs villes du Burkina Faso et du Niger, avec pour motif la célébration de la sortie de la Cédéao. Sur des pancartes, on lisait : « À bas la Cédéao et vive l’AES » ou « Oui à l’AES, non à la Cédéao ». Ou « Adieu la Cédéao aux mains liées ».
Du côté de ces trois pays, le divorce est bel et bien consommé. C’est plutôt la Cédéao et ses dirigeants qui ont du mal à avaler cette couleuvre de divorce après un siècle plein de vie commune, de cohabitation pacifique et intelligente.
En effet, la sortie du Burkina Faso, du Mali et du Niger de la Cédéao est la résultante de cette décision qualifiée d’irréversible prise par les trois présidents de transition : Traoré, Goïta et Tiani. Même si le président Allassane Ouattara de la Côte d’ivoire tient dur comme fer pour retrouver le quorum des 15 membres, ce désir ardent vient d’être douché et désamorcé par la déclaration sanctionnant la tournée du président ghanéen, John Dramani Mahama qui évoquait « la nécessité d’une reconnaissance de l’AES par la Cédéao ». La reconnaissance !!!
Le réalisme pour la sécurité
Cette déclaration du président Mahama participe d’un réalisme politico-diplomatique qu’il faudra accepter même s’il consacre une rupture majeure dans l’équilibre politique et diplomatique de la région ouest africain. Car la réponse aux problèmes posés par les trois pays de l’AES est très loin d’être trouvée dans le contexte actuel où les enjeux sécuritaires préoccupent moins la Cédéao à 13.
Le talon d’Achille de notre Cédéao est ostensiblement connu. L’influence externe primant sur les besoins et aspirations réels des occupants de l’espace Cédéao. C’est la raison fondamentale qui a motivé cette décision irrévocable du trio sahélien : s’affranchir d’une organisation qu’ils jugent inféodée aux intérêts occidentaux, impérialistes et éloignée des réalités sécuritaires locales.
Parlons de ces réalités sécuritaires. A la vérité, les enjeux sécuritaires dans le Sahel doivent être une préoccupation partagée par tous les pays de l’espace ouest africain. Si le Sahel reste insécurisé et émaillé fréquemment par des attaques recurrentes, tous les autres pays sont, par voie de conséquence et à l’évidence de la porosité des frontières, aussi dans l’insécurité. Ceci étant, l’effort de contingentement implicite et circonstanciel de l’avancée du terrorisme vers les autres pays notamment côtiers doit être salué et soutenu. Aujourd’hui, l’on a comme l’impression que ce sont uniquement ces trois pays qui sont les plus concernés. Tant s’en faut. Ces derniers constituent, à la vérité, le rideau de fer, le rempart pour les autres pays de l’espace commun. Les opérations militaires du Mali, du Burkina Faso et du Niger permettent de retenir et de contenir les assauts terroristes. Ce qui protège indirectement les 13 pays restants de la Cédéao et impose la vraie question de cohabitation.
Le dilemme de reconnaissance
Il est évident que la reconnaissance internationale d’une organisation régionale communautaire passe par un processus rigoureux, même si l’un des plus importants est bien respecté à savoir la volonté des États souverains décidant d’en créer et en définir les règles et les objectifs. On pourra néanmoins ergoter sur le statut des pilotes : ils ont des putschistes. Cependant…
Si la volonté d’autodétermination des États sahéliens est affirmée, leur reconnaissance sur la scène régionale et internationale est jusqu’à ce jour en rude souffrance. La Cédéao, qui regroupe encore la majorité des économies ouest-africaines, continue de bénéficier d’un soutien diplomatique et financier important, notamment de la part des autres institutions internationales.
Le challenge pour l’AES est de convaincre, mais de quelle manière ? La première et principale étape demeure la légitimité démocratique : ils doivent être démocratiquement élus. Donc, il faut impérativement organiser des élections. Reconnaitre un regroupement porté par des non déclarés à l’issue d’un processus électoral libre et transparent serait un crime contre la doctrine Tobar.
Elle est, en effet, l’une des doctrines qui traitent de la reconnaissance des gouvernements en droit international, surtout la légitimité des régimes issus de coups d’État et leur acceptation sur la scène internationale. Selon cette doctrine, un gouvernement issu d’un coup d’État ou d’un soulèvement non constitutionnel ne doit pas être reconnu tant qu’il n’a pas obtenu l’approbation démocratique de la population par des élections légitimes. De ce fait, les actes posés par les dirigeants bénéficiaires de ces coups d’Etat ne recevront pas d’assentiment au plan international.
Corrélativement à la doctrine Tobar, nous pouvons évoquer la théorie constitutive en matière de reconnaissance internationale qui affirme qu’un État ou une organisation n’existe pleinement en droit international que s’il est reconnu par d’autres États. La reconnaissance confère une légitimité diplomatique et juridique. Un État non reconnu ne peut pas pleinement exercer ses droits sur la scène internationale. Il ne peut non plus l’exercer à travers une association avec d’autres États de même nature.
Au regard de ces principes du droit international public qualifié de droit de coordination et de régulation, on note une forme d’imbroglio découlant des comportements de certains pays de l’espace dont le Togo. Le fait de manifester son intérêt à rejoindre l’AES ne serait pas, de facto, une reconnaissance de cette organisation par un pays » pour le moment » membre de la Cédéao ? Même si on fait fi des conséquences que cela pourrait engendrer, l’on se demande aussi si cette seule reconnaissance qui prend déjà la forme déclarative suffirait-elle à l’AES de faire valoir son statut juridique international ? J’en doute fort.
A l’évidence, le dilemme de reconnaissance se pose à deux niveaux avec acuité. Reconnaitre l’AES pour poser les nouvelles bases de cohabitation et de coopération pour une lutte commune contre le terrorisme en vue de sécuriser l’espace commun ou rester dans cette cacophonie voire ce cocon de méfiance, de défiance et de soupçon qui rend davantage délétère notre territoire à nous tous.
Une solution vitale, surpassant toute considération, doit sortir des deux externes pour la paix en Afrique de l’ouest.
Donis AYIVI
Politiste et Consultant en communication
Politique
Nation: Souveraineté nationale et sauvegarde de la patrie : Ousseini Malam Moussa Ahmet, toujours débout pour soutenir le CNSP
Depuis dix (10) mois, le Niger est dirigé par les autorités du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), avec à sa tête le Général de Brigade, le Chef de l’Etat Abdourahamane Tiani. L’arrivée des nouvelles autorités suite aux évènements du 26 juillet 2023 a suscité l’espoir d’un Niger nouveau avec l’affirmation de la souveraineté nationale et la défense de la Patrie. Pendant plusieurs mois, les nigériens l’ont démontré à travers le combat mené pour le départ des forces étrangères de notre pays mais aussi et surtout la résilience face aux sanctions infligées par la Communauté des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA).

Dans cet élan de patriotisme, beaucoup de nigériens se sont engagés volontairement à soutenir les actions des nouvelles autorités. Les déclarations de soutien et autres rassemblements à travers le pays sont organisées grâce à l’engagement et à la mobilisation de ces patriotes, convaincus de la conduite des autorités du Conseil national pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP).
Au niveau de la région de Zinder, un compatriote engagé s’est distingué à travers ses multiples actions accordés aux différentes structures de la région. Le patriote Ousseini Malam Moussa Ahmet figure emblématique du soutien au Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie a investi son temps, son énergie et ses moyens financiers pour contribuer à bien mener cette bataille. En effet, le combattant Ousseini Malam Moussa Ahmet, Secrétaire Général du Syndicat des Travailleurs des eaux et énergie du Niger (SYNTREEN, section de la société de raffinage de Zinder (SORAZ), par ailleurs Vice Coordinateur régional de la Convergence pour la Sauvegarde Nationale (COSNA-Niger) est connu des autorités administratives, coutumières et religieuses, les syndicats, les structures des jeunes et les organisations de la société civile pour sa détermination et son accompagnement.
Parmi ces actions de parrainage on peut citer : la tenue de la déclaration de la population de Baoucheri ; La conférence de sensibilisation du CCA/OSC communal I de Zinder avec comme thème les Grands efforts des autorités du CNSP par rapport à l’eau potable de Zinder ; la tenue du sit in de soutien des jeunes filles leaders engagées du groupement Hadin Gouiwa de la région de Zinder ; Activité de la 3eme édition de la coupe du Président du CNSP ; La journée de sensibilisation sur l’importance pour chaque citoyen de contribuer au Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie ; la lecture du saint coran à la mosquée de laouali Balla et la journée de sensibilisation des jeunes à travers le conseil de la jeunesse de la ville de Zinder sur les impacts du retrait des pays de l’Alliance des États du Sahel de la CEDEAO : Quelle contribution de la Jeunesse ?. Cette conférence débat a été organisée le 18 février 2024 à l’École Nationale de Santé Publique de Zinder.




Pour encourager ces actions entreprises par ce digne fils du terroir, certaines structures l’ont décerné des témoignages de satisfaction comme celui du Collectif des centrales syndicales de la région de Zinder ; des jeunes filles leaders engagées; du comité d’organisation du débat National (COPAD) ou encore celui de la confédération générale des syndicats libres du Niger/Zinder. C’est dire que ce patriote engagé pour la cause nationale près à soutenir à tout moment est à saluer en encourager.
-
Santé3 mois ago
Gestion de l’abattoir frigorifique de Niamey : Le Conseil d’Administration tient sa 88eme session ordinaire
-
Santé2 mois ago
Santé : Lutte contre l’insécurité alimentaire et la malnutrition des enfants au Niger : World vision lance la campagne ASSEZ/ENOUGH dans la région de Tahoua
-
Non classé4 mois ago
Communiqué de presse de la Banque Mondiale : L’accès à l’emploi et aux services publics sont les clés pour réduire les inégalités et la pauvreté en Afrique
-
Société3 mois ago
Societé: Niger : Revoir notre rapport au travail : une urgence pour faire décoller le pays !